Posts filed under ‘Uncategorized’

Petite modification…

Bonsoir,

afin de rendre plus structuré notre blog, votre post mensuel va désormais être publié dans la rubrique « Potins autour des chemins« . La page ci-contre devenant notre nouvelle page d’accueil. Bienvenue chez les C2T (Chemins 2 Traverse).

Le Vion Baladeur.

23 Mai 2012 at 18 h 38 min Laisser un commentaire

Qui sommes-nous

Cette association de Saint Pierre dAlbigny sintéresse tout particulièrement aux chemins de la commune.

De nombreuses facettes sont développées aux cours de nos activités:

Lenvironnement est notre premier chantier :

Nous coupons herbes folles, ronces et branches pour permettre le passage des promeneurs. Les espèces
fragiles, rares ou pr
ésentant un intérêt particulier sont épargnées chaque fois que cest possible. Nous débarrassons
par la même occasion les sentiers des d
échets laissés par des indélicats.

Le patrimoine nest pas oublié :

Nous réhabilitons les sentiers parcourus par nos anciens lors des travaux agricoles ou des échanges entre Bauges et Combe de Savoie en redressant des murets, des escaliers et en dégageant les dalles anciennes :

 Au printemps 2007, entre les Garniers et Roissarvaz, petite séance de débroussaillage.

Et de remontage de mur de soutènement.

Le sport est permanent :

Le balisage discret des sentiers (panneaux directionnels et balises jaunes sur fond vert) offre une grande diversité
de circuits (facile à difficile, 2 à 5 heures, 5 à 11km, 250 à 1100m)

La plaquette représentant l’’ensemble des circuits est disponible à la rubrique  » Les Chemins de Saint-Pierre ».

Un exemple parmi tant d’autres, plantés dans la joie  et l’allégresse.

La culture est très présente :

Ces chemins permettent daborder les thèmes forts de notre pays (montagne, forêt, vigne, eau, vie des hameaux,
traces du pass
é Sarde)

Une sortie à thème est organisée par l’association chaque année pour tous :

Du côté d’Aillon-le-Jeune en 2011.

Mais aussi une, plus intime, pour ses membres :

En 2009, du côté des Hurtières.


Lintégration est une réalité :

Les membres de lassociation sont tous très volontaires, ils nont pas « que des gros bras » ou « la grosse tête », les tranches dâge sont variées et la parité est bien assurée.
Nous menons des actions concert
ées avec les communes voisines et avec les associations partageant nos
pr
éoccupations.

Vous pouvez nous signaler des problèmes rencontrés sur les parcours (balisage, arbres couchés,
éboulements) en laissant… un petit commentaire.

Et venez vite nous rejoindre, on vous attend :

Certains détruisent des murs qui séparent. Nous, on reconstruit ceux qui rapprochent les gens.

Certains détruisent des murs qui séparent. Nous, on reconstruit ceux qui rapprochent les gens.
Copyright « Les Chemins de Traverse, 2007 ».


23 Mai 2012 at 18 h 29 min 1 commentaire

Et voici la passe de deux.

Bonjour,

Un tout petit post (ou billet, si vous êtes anglophobe). Mais laissons le Dauphiné Libéré faire le boulot à notre place :

Merci à Valé pour la photo.

Au 5 Novembre 2011, 10h à la salle polyvalente de Frèterive (séquence « promotion »). Ou au 19 Novembre 2011 à 8h15 sur le parking du Gymnase de Saint-Pierre d’Albigny (séquence « frisson » [pour certains] ou « sudation » [vous avez le choix]).

Rassurez-vous (et rassurons-nous), ceux qui essayeront n’auront pas de problèmes. Cela dit nous vous laissons seul juge.

A plus.

30 octobre 2011 at 17 h 57 min Laisser un commentaire

Une sainte Thérèse à l’aise.

Hello les saint-pierrains des Chemins (de Traverse). Mais aussi les Frétarivots de Frette Rive à Pied*. Un petit résumé de ce 15 Octobre 2011 dernier qui s’est déroulé au-dessus de la Combe de Savoie, du côté de Covarel-Dessous. Dont nous avons une splendide vue ce samedi matin sur Frèterive et ses voisins du Val d’Albeterre et du Gelon :

Quand se lève la brume, apparait le décor. Côté cour, la plaine. Côté jardin, la pente montagnarde.

8h15 : peu de monde ce matin, il faut dire qu’entre le rugby (ou d’autres obligations plus personnelles [ne l’oublions pas, c’est tout d’abord du BENEVOLAT]) et venir manier pelles, pioches et autres goyardes; il est sûr que les fans des canapés (entre autre) ne se sont pas déplacés. A charge de revanche le 19 Novembre 2011 prochain.

8h35 : nous nous engageons sur la route forestière de Montplan (heureusement, on ne sait pas trompé avec celle de Plamont). On avance jusqu’au belvédère non loin de la cascade de Rafoux et nous attendons l’arrivée de notre pathvan préférée.

Et voilà-t-y-pas qu’un coup de téléphone nous dit de rebrusquer notre chemin jusqu’à Montplan que nous avions dépassés. Et voilà que le doute s’installe… Eh oui, relisons le blog de nos amis frétarivots (http://fretteriveapied.blogspot.com/2011/10/chantier-samedi-25-octobre-2011.html) : il est question de Covarel, pas de Montplan. Et qu’en dit la carte ? Ah, vi, là ! (et non pas ici où nous étions). Et comme nous étions le jour de la fête de Saint Thérèse d’Avila (lol), vous aurez « pitié » d’un jeu de mots aussi tiré par les cheveux (à défaut de l’avoir sur la langue).

Et pourtant, nous avions un géographe avec nous. 9h35, nous sommes enfin arrivés au point de rendez-vous, au dessus de Covarel « dessous » et au dessous de Covarel « dessus ». Ce qui est étonnant, c’est la signification de ce lieu qui aurait dû nous mener sans encombres sur sa piste (au lieu de nous en… éloigner).

Pas le temps de rêvasser, il faut aller à la recherche du temps perdu.

Quelques clichés transmis par nos amis de Frette Rive à Pied :

Zut alors, cela, c'est après les hostilités...

Vous m’excuserez, mais cela se passe après la clôture des hostilités. Car comme d’hab, je n’ai pu conjuguer photos et travaux. Reste le site de nos amis frétarivots (http://fretteriveapied.blogspot.com/2011/10/premiere-cooperation-reussie.html) pour vous en mettre plein les mirettes (et laver leur honneur) devant une petite association qui monte, qui monte (et qui conjugue les gestes aux paroles).

Et pour finir, ze photo de groupe désormais incontournable :

On y serait tous si je n'avais pas oublié mon t...

Et c’est avec une petite pointe d’amertume que j’ai dus quitter le groupe des travailleurs, pour être à l’heure, au capilliculteur (pas de quoi couper les seveux en quatre. Et vous avez compris pourquoi le cheveu sur la langue ci-dessus). Et d’abandonner ces succulents diots (sur la braise) et ces tendres tufères (sous la cendre) qui, je ne vous le cache pas, nous avaient mis l’eau à la bouche (d’où l’apéro) :

Des diots dédiés à Sainte Thérèse. Sainte Thérèse qui hurle quand on la braise (dixit Desproges)

A moins que nous n’en croyons point nos yeux. Ou alors, Lisieux dans les yeux (pour reprendre une autre Thérèse).

Terminons avec les prochains rendez-vous :

– 5 Novembre à 10h00, les frétarivots inaugurent leurs boucles thématiques. Après les saintgenaises (et bientôt les cruetneraines. Et les saint-pierraines…). Viendez nombreux.

– Et surtout le 19 Novembre 2011 à 8h15 pour la séance mensuelle des Chemins de Traverse. D’ici là, REAGISSEZ ! Lire, c’est bien, mais une critique constructive, c’est mieux… Comme par exemple, savez-vous ce que veut dire « Covarel » ?

Ar’vi (reste à savoir si cela se dit en pays d’Albigny)

* Au passage, le bonjour aux saint genais Slo’vions et aux Cruetnerois de CNP (ne les oublions pas).

20 octobre 2011 at 18 h 53 min Laisser un commentaire

Un mois d’Octobre bien rempli.

Salutations à tous, Traversiens et Traversiennes des CDT (ou C2T).

Plusieurs choses : la sortie du 2 Octobre 2011, commentez ceux qui y sont allés. J’espère qu’elle fut à l’image du temps, c’est à dire magnifique.

Ensuite, un petit article paru dans les DL (pour nous donner des ailes) concernant la séance précédente :

Ensuite, le 15 Octobre 2011, notre séance du mois avec deux parties : le matin, place aux pioches, pelles et autres coupes-coupes du côté de la « rive effritée ».

Pour en savoir plus, allez « yiauter » du côté du blog de la dernière association du Val de Miolans consacré aux chemins, les frétarivots de Frette Rive à Pied (http://fretteriveapied.blogspot.com/). Halte là, les mousquetaires sont là (ben oui, nous voici quatre associations avec un but commun : faire revivre nos chemins).

Et l’après-midi, toujours du côté de Frétaripa, l’inauguration de leurs boucles de découverte du terroir de Fréterive.

Enfin, le dimanche 16, pour les amoureux de la marche (et de la course), direction Saint-Jean de La Porte avec la Cépienne (http://lacepienne.perso.neuf.fr/accueil.html). Deux parcours :

– 20 kms avec le passage de la Sciaz et fleurte avec l’arête du Mont Charvet. Pour les traileurs

– 8 kms en suivant la PSD de Saint-Jean. Pour les découvreurs.

En espérant que, comme la veille, le temps sera de la partie.

Et entretemps, n’oubliez pas de vous en mettre plein les mirettes avec :

notre ami Laurent Fabry nous invite à aller voir le collectif DivertiCimes, un groupe de photographes qui expose ce week-end (entre autre) à Saint-Pierre (cf. http://www.diverticimes.com/index.php, http://www.photosapiens.com/Photo-Arclusaz-presente-DiVertiCimes_6449.html et http://fr-fr.facebook.com/pages/Photo-Arclusaz-galerie-studio-St-Pierre-dAlbigny/175886062447516).

Et désolé cette fois-ci, je n’ai pas mangé du clown avant de faire ce billet, si bien qu’il est à l’image du temps céleste de ce samedi 8 octobre 2011 : maussade. Dommage pour les Draconides…

 

A bientôt.

Le Vion Baladeur.

8 octobre 2011 at 17 h 28 min Laisser un commentaire

Après l’appel, voici qu’ils débarquent aux Aillons.

En ce matin du 19 Juin 2011, nous étions confiants, à attendre des tas de gens pour la nouvelle sortie actuelle.

Déception ? Le temps de la veille a refroidi les ardeurs (du moins, pas les nôtres).

Et c’est avec « confiance » que nous avons pris la direction de Roissarvaz.

NON ! Non, je ne médiserais pas (c’est français cela ? Au secours Maitre Cappelo, Alain Rey de la radio…) sur ceux qui firent le tour. Car pour ménager nos rotules (ou nos chevilles), il était prévu que certains fasse une boucle plus petite. Mais attention, de Aillon-Station au col de la Sciaz, cela fait quand même deux heures de marche (et 500 mètres de dénivelée). Contre 1000 du côté Savoie.

Tiens, en parlant de cette voie (cela se voie, non ?), venons-en à celle-ci (même si elle scie les jambes au bout de deux heures…).

Voici donc un de ces passages, si sciant à passer (eh oui, pas de grossièretés sur ce blog) :

Allez, on pousse sur les jambes. Et on tire sur les bâtons.

Allez, on pousse sur les jambes. Et on tire sur les bâtons.

Heureusement, juste après, le chemin est moins rude (il faut dire aussi que le sommet n’est plus très loin). Et même celui-ci se repose. Ici, il profite de la stratification naturelle de la roche :

Un chemin bien accroché

Un chemin bien accroché

Je ne m’attarderais pas non plus sur l’histoire pluri-centenaire de ce chemin, entre cheminement muletier où il ne fallait pas s’en fer (et une fois de plus). Et une histoire où il aurait fallu s’en faire (en autre preuve de méfiance). Et de pouvoir croiser le fer (plutôt faire cracher le feu ou parler la poudre) fut une triste issue : je veux parler de la dénonciation et de la lâche mise à mort des jeunes du Maquis des Frasses.

En souvenir, le monument rappelant leurs noms avec un petit point lumineux (ne les oublions pas comme nous n’oublions pas les otages libérés ou non…) :

En souvenir de ceux qu'on a trahis (et dont on trahis la mémoire aujourd'hui...)

En souvenir de ceux qu'on a trahis (et dont on trahit la mémoire aujourd'hui...)

Après un moment de recueillement, il fallut repartir.

Dur, dure fut la montée vers le col. Vous n’avez qu’à constater :

Dure, dure la montée.

Dure, dure la montée.

Heureusement, une croix (encore !) nous montra que nous étions arrivés au septième ciel :

) »]La Croix de la Sciaz ? Je n'y crois pas (Saint Thomas [taquin])

'' La Croix de la Sciaz ? Je n'y crois pas '' - Saint Thomas taquin

Et là, nous retrouvâmes (milles excuses pour le passé simple) ceux qui nous avaient lâchés à Roissarvaz. Et qui malgré le fait d’avoir mis les foulées doubles; n’étaient pas encore arrivés.

Mais, ce fut de courte durée, et avant de ripailler, une petite photo de groupe pour fêter les retrouvailles :

Ceux qui en furent (de la sortie)

Ceux qui en furent (de la sortie)

Puis, le repas se faisant, il y eut quelques apartées : Yves poussa la chansonnette. Et voulant la chance provoquer, se mit à composer avec la complicité d’Annie. Et quelques clichés pour illustrer tout cela :

Yves Le Troubadour en plein récital de la chanson des Maçons.

Yves Le Troubadour en plein récital de la chanson des Maçons.

Touchez ma bosse (mais non, bosse plutôt), elle vous portera chance...

Touchez ma bosse (mais non, bosse plutôt), elle vous portera chance...

 

 

 

 

 

 

 

 

Pas de sous-entendus ou de second degré. Annie bosse fort (tel un Turc) tout le long de l’année. Pour les CDT et d’autres assocs. Big respect Annie.

 

 

 

Bon, ben c’est pas le tout, mais il faudrait y aller. Mais où ? A la Chartreuse d’Aillon (du moins ce qu’il en reste… Révolution Française oblige).

Et la voici, une heure et demi après avoir quitté la Sciaz :

La Chartreuse d'Aillon attend les CDT comme invités.

La Chartreuse d'Aillon attend les CDT comme invités.

Et les CDT furent en retard, et la Chartreuse attend(a).

Pas de photos des intérieurs, simplement pour vous conseiller d’aller la visiter. NON ! Non, je n’ai pas été payé pour leur faire de la publicité… Mais bon, comme ça, vous aurez une excuse pour aller arpenter ses coursives.

 

Et c’est là que s’achève notre odyssée 2011 des CDT aux Aillons. Puisque tout le monde est rentré en « ouature » par l’accès moderne aux Aillons par le Châtelard, Ecole et Routhennes jusqu’à Saint-Pierre d’Albigny.

En attendant la séance d’entrée (comme les écoliers) des CDT, n’hésitez pas à commenter en masse ce dernier post. Le prochain paraissant en Septembre prochain (au moins), passez de bonnes vacances, chers adhérents. Et à toi qui a fait l’effort d’adhérer le temps de lire ce post bien gratiné (ah ! tufères, quand tu nous sustente bien, rien ne nous résiste. Même les chemins).

Ar’vi (à ceux des Aravis) ou Aré’ vié (aux Pralognanais).

Le Vion Baladeur.

 

 

 

 

5 juillet 2011 at 20 h 34 min Laisser un commentaire

Faites ce qu’il nous plaît : le leitmotiv des Chemins de Traverse

Examen préalable avant tronçonnage et fauchage.

Comme prévu (voir le post d’avril 2011), changement de programme : Pas de Barthou, mais une séance de plantage de choux… Mais non chou, ch’était pas cha le thème. C’était : foin au loin du côté des Allues. Et débroussaillage, coupage, nettoyage et… plantage du côté de chez… Swann ! Mais non, du côté de chez… Charbonneau ? Pas faux, mais ce n’est pas encore cela. Qui postera le commentaire adéquat le (ou la) premier(ère). N’oubliez pas, ils sont faits pour cela.

Bien, après subdivision, nous voici donc arrivé sur zone. Après un petit trajet dans notre cher red pathvan (ne l’oublions pas), nous nous garons, descendons, ouvrons, équipons, bossons et… nous en allons. Allons ? allons, du calme, ne confondons (pas) vitesse et précipitation.

Voici donc la zone avant notre intervention :

Par respect de l’anonymat, je ne vous citerais pas les prénoms des trois présents. Vous les avez reconnus, bien évidemment.

Pendant que nous coupions moult fourrage et branchage, l’équipe amont en avait fini avec le nettoyage préalable et le découpage des éléments pour qu’on puisse allier le désir avec la réalité.

Car tenez-vous bien (tenez-vous mieux), il fallait tenir solidement la rampe avec le rythme endiablé engagé.

Et puisqu’il  en était question, et bien plantons :

 » Savez-vous planté les pieux, à la mode, à la mode; savez-vous planté les pieux, à la mode des Saint-Pierre…eux ! » Eh oui, chez nous, la masse (à défaut de l’être), on ne connait pas*. Si bien, qu’il faut se replier sur le « Pafer » pour pouvoir s’en sortir.

Toutefois, le « Pafer », c’est heureusement en fer, comme cela, ça va y faire. Trêve de paroles, cela commence à bien faire :

Un bel exemple de symbiose

Après, il fallait calibrer la rampe. Afin qu’elle en jette (les feux de la rampe, vous connaissez, non ?). Et c’est notre chère (non, pas de prénom) qui s’y colle dans le rôle.

La voici en pleine action (1/5) :

On a toujours besoin d'un plus petit que soi.

Mais bon, il faut savoir aussi trouver le juste milieu :

Ensuite, fixation et… la rampe est prête à subir les feux du même nom :

Tiens bon la rampe ! (et tiens bon longtemps). Hissez haut (mais pas trop) aux poteaux.

Puis, Cannes oblige, c’est la montée (!?) des marches. Mais non, la descente (avant d’autres d’un autre type). De toute façon, importe peu, nous sommes au mois de Mai d’où CQFD. Et puis, la descente, ce n’est qu’une montée contrariée (lol) :

C'est pour un film hors compétition ?

Cela ne vous rappelle pas quelqu'un ? (les rides et les lunettes en moins ?)

Et comme d’hab, midi venu, c’est le moment de clore par un verre mérité. Il fait soif de travailler… Encore que :

Excusez, c'est ici la soirée Pathé ? Paté ! Non, c'est celle des CDT.

Pour finir, deux infos :

– Samedi 21, venez nous encourager à la pétanque des associations. Sinon, on risque de prendre (si j’ose dire) la pâté. A la rigueur, la br….., mais bon, actualités oblige, ce serait plutôt déplacé…

– Samedi 18 Juin, la dernière de ce semestre, prélude au dimanche 19 avec la sortie annuelle des Chemins de Traverse : sur les traces des Aillons. Surveiller les affiches, tout y sera expliqué. A moins qu’un commentateur ait la bonne idée, une fois de plus, de préciser mes propos.

Ar’vi à tous.

Le Vion Baladeur.

17 Mai 2011 at 20 h 12 min 2 commentaires

En Avril, on ne se découvre pas d’un fil (de peur de le perdre ?)

8h15 ce samedi 16 Avril 2011. De nouveau un temps à être « outdoor ».

Que faire avec cette végétation en folie, dont le passage au vert est tout, sauf une surprise…

Trois options : Entre le Taccon et chez les anglais du Mollard de Montbenoit.

Sur la route de la Sciaz, entre les Garniers et Roissarvaz.

Enfin, sur le chemin des Galants à repousser la vermine (qui repoussera, on n’est pas inquiet de ce côté là).

Tout d’abord, je ne vous cacherais pas qu’il n’y avait rien à chicaner concernant le premier chantier puisqu’il y était question de… chicane !

Vous savez bien, ce que certains conducteurs de certains véhicules à moteur thermique n’hésitent pas à couper. Bon ici, la seule chose à couper fut le fil barbelé pour le remplacer par du non armé. Ben oui, le premier jet était fait avec le fil disponible sur place. Mais bon, ne soyons pas vache avec ceux (et beaucoup sont de chez nous) qui utilisent les chemins ainsi remis en état. Sinon, à quoi ça sert qu’les ch’mins d’traverse y se décarcassent ?

La même analyse peut être donnée aux deux autres « chantiers ». Certes, étant de celui des Galants, je ne dirais rien du second, de peur de déformer la vérité.

Par contre, celui des Galants ne fut pas du menu fretin, même si il n’y a pas besoin d’en faire tout un foin. C’est sûr, ce n’était pas la pagaille, d’autant que même quelqu’un qui n’aurait bon qu’à en manger aurait compris en quoi consistait le travail…

Voici une petite vue avant la coupe de rafraichissement (comme aurait dit tout capilliculteur qui se respecte) :

Certes, faire du foin ne se fit pas dans la pagaille. A moins d’être bête à en bouffer. Pour autant, ce n’était pas du foin de la Crau (classé  comme Appellation d’Origine Contrôlée, eh oui), par contre, certains commençaient à avoir (les crocs !).

Si bien, qu’après avoir lancé un bon feu (qui se chargea de « bouffer » les fourrages et branchages), un petit café (ou thé ou chocolat) fut proposé.

Tout en regardant le feu :

Mais malheureusement, à force de le nourrir, le petit devint grand jusqu’à tenter de prendre la poudre d’escampette.

Et comme Batte (à feu) manne arriva tel le Grand Zorro, héhéhéhé, sans se presser; ce fut à grands coups de râteau et de talons que celui-ci fut rattrapé.

Enfin, avant de conclure, une petite incursion depuis les ruines de Grange Colon jusqu’à la route du Frêne fut exécutée. Comme ce tronçon risque d’être remodelé, il est momentanément laissé comme tel… (mais ceci n’est que pure théorie, en attendant les vraies intentions d’EDF).

Puis, retour aux véhicules pour y ranger le matériel. Et lever le camp jusqu’à la fois prochaine.

Qui aura lieu le Samedi 14 Mai. Avec mises en place de poteau; chantiers à l’Epaté et grange Barthoud. Et comme en Mai, on peut envisager ce qui nous plait, ce programme pourra être complété selon les envies (le nombre de personnes, le temps temporel et/ou celui du ciel).

Espérant aussi que l’on pourra aussi se découvrir (voire découvrir… autre chose).

Ar’vi sur nos vions de Saint-Pierre, du Val Miolans. Voire de… l’Albeterre.

6 Mai 2011 at 18 h 04 min Laisser un commentaire

Un début d’année « chargé » (non, non. Nous ne parlerons pas de neige).

Coup sur coup, nous parlerons de l’Assemblée Générale du 15 Janvier dernier.
Et de la séance du 19 Février. Toutes les deux « sur le terrain ».

D’accord, celle du 15 s’est passé « entre les murs » et celle du 19 « hors les murs » (même s’il nous arrive d’en bâtir. Ou d’essayer de freiner leur « poulinage »). Mais bon.

Concernant le 15, je ne vais pas dire grand chose. Du fait que j’étais absent. Et comme les absents ont toujours tort; vous aurez compris que, même si je plagie le compte-rendu de notre assemblée générale (par un copié-collé), j’aurais l’air fin. Moi qui suit contre le plagiat (même si cela vient… de Wikipédia. Mais cela est une autre histoire).

Par contre, pour le 19, je m’en vais essayer… Avec un handicap : j’y étais. Mais n’étant pas Vishnou, je n’ai pu me diviser en trois. Je suis allé à Mont-Benoit. Mais un autre groupe est allé « voler un boeuf » du côté du chemin de la Pôque (c’est fait exprès pour avoir « l’explication » en fin d’article). Et d’autres se sont essayés à la gestion d’une infrastructure autrefois dédiée aux flux minéraux par transport muletier.
En clair, l’entretien de la partie commune du chemin du col de la Sciaz. Qui fut l’itinéraire de ravitaillement des industries métallurgiques des religieux baugus en matière première d’élaboration (le fer des Hurtières). La matière première de combustion étant le bois (ou le charbon de bois) autochtone…

Après nettoyage et débroussaillage (qui sont les deux premières … des chemins de Traverse et des Slo’vions) des trois chantiers, nous nous sommes retrouvés pour conclure sur celui commun avec nos amis saint-genais (ou saint-genins ? Vite, un commentaire du cru pour me rectifier…) au pied de ce col qui vous scie les jambes (même si ce n’est pas la vraie explication du mot Sciaz…).

Pour finir ? Rendez-vous le 19 (encore ! mais là, c’est en MARS. Et puis, c’est facile pour s’en souvenir…) sur le terrain, hors des murs.

Eh, ne soit pas vache. Reprend le taureau par les cornes. C’est quoi cette histoire de vol de bovidé domestique sous Miolans sur ce chemin appelé la Pôque ?
Je tiens à vous mettre en garde : CECI N’EST QU’UNE HYPOTHESE ! S’IL Y A UNE AUTRE EXPLICATION (PREUVE[S] A L’APPUI), N’HESITEZ PAS : METTEZ LA EN COMMENTAIRE.
Bon ! Voici une explication : avant d’être à l’église de saint-pierre (et entretemps dans celle des Ermites de Saint Augustin), les trois saintes epines ramenés par un seigneur de Miolans étaient au château dans la chapelle (jusqu’au moment où Claudine les embarqua avec elle au couvent des Ermites [vers 1527, je crois…].
Or, ces reliques sont en rapport avec la Passion de Jésus qui porta la couronne (dont viendraient les dites épines) avant sa mise à mort par crucifixion. Et qui ressucita le jour… de Pâques. Ce jour où les enfants recherchent les oeufs (et le vieil adage qui dit, qui vole un oeuf… vole un boeuf).

Voici une partie de l’explication.

Le reste étant que, en patois (cf. le Petiou de Jean-Gaspard Perrier), la Pâque se dit… la Pôque ! Et donc, pourquoi nommer ce chemin, chemin de la Pâque, s’il n’y aurait pas un lien de causalité possible : celui d’aller durant la Pâque adorer les reliques s’y rapportant. Donc les épines se trouvant à Miolans, dans la chapelle. Et dont ce chemin permet, depuis le Bourget (où vécut le Petiou) d’y parvenir… Même si à l’époque du Petiou, il y a bien longtemps que celles-ci n’y sont plus. Et c’est pour cela qu’il va à Saint-Pierre (le centre-bourg).
Pour plus de renseignements, lisez le dernier Almanach du Vieux Savoyard, rubrique nos patois… Voire, demander aux bourgetains du cru leur avis.

A bientôt sur les chemins de l’Albeterre…

Le Vion Baladeur

1 mars 2011 at 21 h 28 min Laisser un commentaire

Une nouvelle année pour les CDT (Chemins De Traverse)

Pour rafraîchir les mémoires, voici les futures sorties :

25 septembre 2010 : sentier entre le pont des Coutins et la route forestière.

23 octobre 2010 : avec les Slovions autour des Frasses

20 novembre 2010 : fin des travaux du 25 septembre et nettoyage du sentier de la Noiriat à Noiriat-dessus

11 décembre 2010 : Assemblée Générale le matin et balade l’après-midi pour les intéressés

15 janvier 2011 (St Président oblige !) : Mappa (chemin de la Noiriat à Miolans)

19 février 2011 : Mappa suite et fin et casse croute offert par l’association

19 mars 2011 : Bourget au château de Miolans.

16 avril 2011 : Grange Colon au Col du Frêne.

14 mai 2011 : mises en place de poteau ; l’Epaté, grange Barthoud, programme à compléter.

18 juin 2011 : débroussaillage petits secteurs alentours en prévision de l’été

La sortie découverte : dimanche 19 juin 2011. Un grand parcours St Pierre – Col de la Sciaz – Chartreuse d’Aillons. Et un petit parcours autour de la Chartreuse. Apéro offert par l’association et pique nique tiré des sacs. Visite guidée de la Chartreuse et retour.

Pour ma part, je serais à la première. Les autres ? Nous verrons le temps venu…

Heure de départ : 8h15. 9h00 (peut être) durant les mois en r ? (mais non, pour les mois divers d’hiber [ça y est, je m’enrhube] : Décembre (?), Janvier, Février & Mars).

Lieu de départ : Le parking du gymnase.

Pour ceux qui ne le serait pas encore, une petite vue de situation :

C’est le début de la saison 2010-2011, d’où un petit article pour débuter.

J’espère faire mieux la fois prochaine.

Le Vion Baladeur

13 septembre 2010 at 17 h 08 min Laisser un commentaire